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3 décembre 2009 4 03 /12 /décembre /2009 09:34
De : Hors ligne Makisosila Mawete (pyramidepapyruspresse@hotmail.com) publié sur Hinterland, le
Envoyé : mar. 17/11/09 10:20
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A tort, certains Africains, notamment ceux du Congo démocratique, croient que le président Mandela est traître de l'Afrique, en se fondant sur le rôle présumé que celui-ci joue ou aurait joué contre leur pays.
 

Aucun traître n'a passé sa vie en prison et n'a su négocier le retour à la paix et à la prospérité de son pays comme Madiba Mandela
!

Si Mandela est traître de l'Afrique, qui ne l'est pas, alors ? Nous, qui, pour certains, les grands parents et parents n'ont pas participé aux luttes pour les indépendances ? Comment évalue-t-on les sacrifices d'un vrai leader et d'un mauvais leader pour son peuple ? C'est ignorer pourquoi on lutte actuellement pour la Renaissance africaine si nous continuons à donner de satisfecits en fonction de nos passions et non en fonction d'une connaissance approfondie de la situation et des enjeux, sans laquelle, nos analyses conduiront toujours nos luttes vers des impasses.

De notre manque criant de l'intelligence de la situation


Beaucoup des situations malheureuses que nous vivons en Afrique, surtout en Afrique Centrale, surviennent parce qu'un grand nombre actuel de nos leaders n'ont aucune conscience de ce qu'est-ce une indépendance. Beaucoup d'entre nous sont accidentellement entrés dans la lutte pour la démocratie, ils n'ont pas eu l'expérience de la lutte pour l'indépendance dont les sacrifices consentis ont été bien loin plus importants en tout. Il faut que nous comprenions que la lutte pour la démocratie, qui est, d'une certaine manière un gâchis de nos énergies, est tout à fait différente de la lutte pour les indépendances.
D'abord, parce que les acteurs visibles furent différents de ceux qui gouvernent l'Afrique de 2009. A cette époque, malgré l'existence de nombreux vrais traîtres et collabos de tout acabit, une grande unité d'esprit et d'objectif à réaliser existait parmi les leaders qui avaient conduit les luttes pour les indépendances. Il semble que ceux qui ont lutté pour les indépendances aimaient vraiment mieux que nous notre Afrique. Une de nos fautes courantes, en tant qu'analystes politiques africains, est d'imaginer la situation de luttes pour les indépendances dans les mêmes conditions socioculturelles, politiques et spirituelles que celles des luttes démocratiques. C'est parce que nous ignorons la psychologie des colonisateurs que nous n'avons pas consentis, jusqu'à présent, des efforts intellectuels conséquents pour étudier la psychologie des leaders africains contemporains. Nombreux agissent comme ou pire que les colonisateurs, les uns comme les autres préoccupés par la prédation économique. Le développement dont nous parlons et que nous désirons tant correspondrait à quoi, à quel type d'Afrique ? une reproduction copiée/collée de la civilisation occidentale ou orientale ? Nous aurons du mal à faire quelque chose de valable et de durable en nous imaginant vivre un jour dans une Afrique qui ressemble à s'y méprendre à l'Occident ou à l'Orient.
Ensuite, nous ne prenons pas conscience du fait que nous manquons des vrais leaders parce que nous voulons avoir les mêmes profils des leaders que nos anciens colonisateurs. En effet, tout va mal parce que, justement, nos leaders sont des mauvais leaders à cause de leur manque de culture politique africaine, leur manque de vision du monde africain. Croyez-moi qu'ils seraient de très bons leaders s'ils vivaient en Occident. C'est leur mentalité qui explique leur échec : ils pensent travailler pour les Africains en travaillant comme et pour l'Occident. La difficulté de développer vient de ce que nous travaillons contre nous-mêmes. Nous avons suffisamment développé ce point de vue dans un ouvrage à paraître. Nous voulons d'emblée dire que ce que nous appelons aujourd'hui développement, avec nos politiques de grands travaux mal imaginés, ce n'est pas du développement, c'est ce que nous qualifions par le terme "infrastructuration". Ce sont ceux qui ont les moyens financiers et le pouvoir politiques qui profiteront des méga infrastructures qui nous sont présentées comme des symboles du développement. Car, nous en jouir, il nous faudra payer alors que nous manquons déjà de quoi satisfaire aux besoins quotidiens. Le développement par la politique des grands travaux est un leurre. Il ne crée pas un nouveau contexte qui ne ferait pas de nous des parias. Un défi est lancé à tous de nous de prouver combien d'emplois sont déjà créésgrâce aux chantiers en cours tant au Congo qu'à travers l'Afrique. Sans être source de création de nouveaux emplois, à quoi servent donc les grands chantiers s'ils n'entraîent d'aucune manière la prospérité ?
 Il faut être conscient et sérieux lorsqu'on veut parler des problèmes du pays. Ce n'est ni un jeu de cache-cache, ni une association nationale d'applaudisseurs. Le pays, nous devrons en parler en toute conscience et en toute vérité. C'est de cette manière que notre contribution passera pour la postérité.

Un bon leader est-il celui qui crie très fort et qui s'agite ?


Un bon leader est celui qui est conscient de la situation et de la volonté de son peuple. Un bon leader est celui qui consacre sa vie pour l'accomplissement de la volonté de son peuple. Il est celui qui ne trahit pas la volonté de son peuple. Mandela est de ces rares et vrais leaders africains et même au monde à avoir donné une leçon de politique à ses ennemis d'hier. Les Sud Africains ont affronté les colons afrikaners avec leur l'apartheid quand il le fallait avec une détermination qui a dérouté les calculs des bien pensants Blancs. Ils sont redevenus naturellement frères et soeurs, compatriotes, attachés à l'acccomplissement d'un même destin national lorsque les conditions voulues par la majorité noire ont été remplies. Mandela a conduit son peuple multiracial à un niveau de cohésion sociale et de coexistence pacifique rarement atteint ailleurs. Et ce malgré la lenteur et certaines imperfections dues au calendrier national et aux enjeux internationaux, notamment économiques. L'économie sud africaine était au service des pays qui y ont implantés leurs multinationales.

Qu'avons-nous fait des héritages de nos colonisateurs et de nos dictateurs ?

Le développement, tel que nous l'apprécions à travers l'exemple de l'Occident est le résultat de l'accumulation sur plusieurs décennies voire plusieurs siècles d'un effort de production et de circulation des ressources et des richesses. Il suffit de regarder les westerns pour se rendre compte par quelles étapes les Européens qui ont occupé l'Amérique sont passées pour produire les Etats-Unis actuels.
Une lecture passionnée de la situation du pays, une volonté de développer fondée sur le mimétisme, une incapcité de croire que nous sommes notre propre modèle de développement, un militantisme fondé sur le régionalisme et le colporatisme, etc. sont parmi tant d'autres des défauts qui nous empêchent de faire de bons choix, de produire un véritable développement, c'est-à-dire un véritable bonheur social. le développement n'est ni la multplication des grandes infrastructures ni l'accumulation des ressources et des richesses par une certaine élite né du favoritisme.
Le mauvais bilan de nos chefs d'Etat, c'est notre propre mauvais bilan.Nous participons d'une manière ou d'une autre au maintien de l'Afrique dans le sous-développement durable tant que nous serons incapables d'apprécier et de distinguer les bons des mauvais leaders. Le mauvais leader n'est pas celui qui a obtenu la paix durable pour son peuple. Notre combat pour la Renaissance africaine doit se fonder, aussi, sur la connaissance et la reconnaissance envers ceux qui ont honnêtement sacrifié leurs vies pour nous. Il suffit de constater qu'aucun effort national n'est consenti pour honorer à leur juste valeur ceux qui, comme Simon Kimbangu, ont lutté pour l'indépendance, 30 ans de bagne dans le Katanga.

Que voulons-nous réellement ?


Celui qui qualifie Mandela de traître est celui qui n'a pas eu le temps de comprendre comment on fait la politique. Qu'a-t-il réellement fait contre l'Afrique ? Il est traître par rapport à quels autres leaders ? Combien des millions de personnes son action politique a-t-il coûté ? Est-ce que l'Afrique du Sud est morcelée, ses frontières ne sont pas reconnues et respectées ? Les sud Africains ne sont-ils pas mieux respectés que les Africains des autres pays ?
De quelle manière l'action diplomatique de Mandela en faveure des autres pays africains a-t-il été néfaste ? Quelq gouvernants ont-ils été deçus de l'intevention qu'ils lui ont demandé ? Une diplomatie ne se mène pas seul. Ceux qui attendent que Mandela fassent quelque chose de positif pour eux doivent d'abord savoir avec qui veulent-ils qu'il le fasse. C'est dans cet état d'esprit que nous devons penser l'analyse des apports de chaque leader. Il faut que nous apprécions de quelle manière chacun parmi eux s'est organisé pour sortir son pays et son peuple dans les épreuves les plus inattendues ou les plus dures. Combien d'aussi bons exemples avons-nous comme Mandela ?

Apprenons ensemble à connaître nos leaders, à distinguer les bons et les mauvais

Nous ignorons les parcours de nos leaders et les situations spécifiques, particulières ou générales auxquelles ils ont fait ou font face. Nous jugeons souvent comme des observateurs extérieurs. Il faut que nous impliquions dans la Renaissance africaine en toute conscience des enjeux, c'est-à-dire, de ce que l'Afrique a à gagner ou à perdre dans ses choix et ses actions. Nous ne devons pas barrer la route à ceux qui veulent travailler ou salir ceux qui ont réellement apporté. Toute notre contribution doit consister à éclairer en toute connaissance et en toute vérité nos leaders. Nous devons sortir de l'esprit d'"ecarte-toi que je m'y mette." Beaucoup attendent impatiemment l'échec de ceux qui sont au pouvoir pour y arriver un jour. Lorsqu'un président est en train d'échouer, nous ne devons pas nous réjouir car c'est notre peuple qui souffre. On se réjouit beaucoup des échecs des leaders passés, on se plaint de souffrir, d'être des peuples déshonorés par eux.

A tire de conclusion, cette brève question
:

Que faisons-nous pour que nos pays et nos peuples soient honorés ?


To: jpmbelu@yahoo.fr; sabifab@yahoo.fr
CC: hinterland@yahoogroupes.fr; uvira@yahoogroups.com
From: buinja@yahoo.com
Date: Mon, 16 Nov 2009 20:26:20 -0800
Subject: Re: Hinterland Je pense les defendeurs de Mandela Traitre de l'afrique, peuvent comprendre la reflexion de Mr Mbelu

 
Salutations patriotiques à toutes et à tous!
 
Oui, dire que JPMbelu voit et dissèque bien les situations qu'il nous rapporte n'est que vision objective. Par contre, accuser Mandela, Obasanjo... de tous les maux me semble être une incompréhension des anglophones, quand bien même ils sont africains comme nous.
 
Beaucoup de francophones s'attendaient à ce que Mandela, dans ses négociations avec DeKlerk, se comporte comme un PELumumba à la "Table ronde". [Entre nous, cette Table était-elle ronde? Rassemblait-elle autour d'elle des personnes de compétences égales!?]
Accuser Mandela et consort semble ne pas comprendre les frères, africains comme nous, qui évoluent dans le système de common law. Ils sont très pratiques, pragmatiques... Ils peuvent accompagner une diplomatie congolaise active; pas se substituer aux autorités congolaises.
 
Ces gens aiment fonctionner dans de cadres juridiques bien clairs. Vous remarquerez que même "leurs dictateurs" se rendent en cour. Quelques fois, ils perdent; d'autres fois, ils gagnent. Ils ne changent pas la constitution à leur goût... Si Béchir bénéficient d'un rapport qui lui est favorable de leur part, c'est que la diplomatie soudanaise et la société en général ont été très dynamiques à ce sujet.
 
En tout cas, je suis toujours pris d'étonnement de voir ces francophones qui préfèrent Malcom X à Martin L. King, Thomas Sankara à JNyerere, PELumumba à NMandela, etc. C'est juste pour dire qu'entre les francophones et les anglophones, il y a comme une mer silencieuse. Quand l'Afrique sera entièrement libérée de la main-mise extérieure, cette mer culturelle entre africains risquerait de poser des problèmes majeurs d'interconnexion et de développement si on n'y fait pas attention.
 
Et là, je ne suis pas en train de dire qu'un des systèmes n'a que des défauts et l'autre rien que des qualités... Je vois seulement FMittérand invitant MTatcher au bicentenaire de la Révolution française et l'autre, répondant courtoisement par un oui, s'exclame toutefois en se demandant pourquoi les français font bcp de bruit pour avoir tué leur roi au moment où les anglais qui avaient tué le leur un siècle auparavant n'en font pas du tout. Pourtant, c'est le début de la Monarchie parlementaire qui est devenue le système politique des plus marquant de notre monde. C'était une vraie lutte entre les pouvoirs du Parlement et ceux du roi. Le roi perdit et fut tué. Diminué, la monarchie se soumis au rôle de régner sans gouverner... Plus tard, les royalistes se vengèrent contre le Parlementaire meneur, Lord O'Connor, dont on déterra le corps pour le jeter dans le marécage du Collège Cambridge où il avait finit ses études en droit.
 
Pour constater que les régimes "républicain" et "parlementaire" naissent de durs combats. La libération comme la démocratie ne s'offre pas sur un plateau d'or; elle s'arrache...
 
Merci pour votre temps!
 
Mastaki     16nov2009
  ________________________________________________________________________________
Le Grand Kivu, par ses filles, ses fils et ses autres soeurs et frères dignes et loyaux à la patrie, se défendra contre tous les complots qui se déchaînent contre lui et la RDCongo depuis octobre 1996... En attendant, je peux vous assurer que le congolais et la congolaise responsable résisteront jusqu'à la libération.


--- On Mon, 11/16/09, kafwana sabine <sabifab@yahoo.fr> wrote:

From: kafwana sabine <sabifab@yahoo.fr>
Subject: Hinterland Je pense les defendeurs de Mandela Traitre de l'afrique, peuvent comprendre la reflexion de Mr Mbelu
To: "Jean--Pierre Mbelu" <jpmbelu@yahoo.fr>
Cc: hinterland@yahoogroupes.fr
Received: Monday, November 16, 2009, 11:56 AM



Je suis sur qu'il ya des gens serieux qui suivent a loupe la situation non seulement du Congo mais aussi aux solutions de l'afrique comme Mr Mbelu, il vient de poser des questions tres serieuse sur les differents mediateurs en Afrique qui sont implique dans la mafia occidentale. Notre pays en particulier s'est vu sous la coupe des enventuriers, comme" je cite encore tres fort" Mandela de l'afrique du sud, obansajo du nigeria et la liste est longue, ces gens participent directement dans la balkanisation du congo et freinent a 100% le debut du developement africain. De l'axe north afrique passant par le centre de l'afrique jusqu'au sud de notre continent formerais un soufle d'un developement admirable du peuple noir, mais l'occident joue bien avec ses pions pour ternir ses investiments que tout noir, partout ou ilest attende avec deux mains, j'aimerais et propose a ceux la qui lancent des analyses ou reponses suite a leur  appartenance culturel ou ethnique ou encore politique de suivre l'exemple de Mr Mbelu , celui-ci montre la maturite intellectuelle.
Et j'espere le debat est ouvert sur les points tres importants que Mr Mbelu vient de poser.
A celui qui a des oreils pour ecouter et du cerveau pour reflechir et aussi lire les signe du temp.
 
A bon attendeur!


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